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Charleston rouge à sequins

90,00€ TTC / semaine

Tarif location à distance. Retouches et nettoyage inclus. Frais de port en sus.

60 € tarif boutique

Location 3 jours ou week end, uniquement pris et ramené à la boutique. Retouches et nettoyage inclus.

Femme émancipée, grande bourgeoise ou artiste, vous êtes attendue dans les soirées au luxe démesuré du Tout-Paris. Votre silhouette élégante est inoubliable.

Vous portez une robe de tulle noir entièrement brodé de perles et de paillettes. La robe est doublée de jersey rouge. Un décolleté en V devant et dos, dévoile délicatement la ligne des épaules et la nuque. De longues franges noires au bas de la robe soulignent le galbe des jambes.

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Description

Description

Charleston rouge à sequins affiche la ligne droite typique des Années Folles. Féminissime éclat des perles et des paillettes. Pour toutes celles qui rêvent d’incarner les héroïnes de John Scott Fitzgerald et de Raymond Radiguet.

Sur une doublure de jersey rouge, vous portez une robe de tulle noir.

Elle est entièrement brodée de perles et de paillettes. Motifs géométriques et floraux s’entremêlent.

La touche délicate vient du décolleté en V devant et dos. Les épaules et la nuque se dévoilent.

De longues franges noires au bas de la robe soulignent le galbe des jambes.

Taille : 38

Sur le thème des Années Folles, découvrez nos costumes Années Folles noire soie et paillettes, Charleston verte à sequins et French cancan verte.

Côté messieurs, faites dans l’élégance avec nos Queues de pie et Smoking.

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Roaring Twenties dress made up of red lining under black veil dress embroidered with black pearls and sequins. Beautiful V neckline on front and back. Long black fringes to set off the legs. Size : S.

Le saviez-vous ?

La danse charleston a emprunté son nom à la ville de Caroline du Sud où elle aurait vu le jour. C’était dans l’entre deux guerres, durant les Années Folles, de 1919 à la crise de 1929.

Côté littérature, John Scott Fitzgerald écrit “Gatsby le Magnifique” et Raymond Radiguet son “Bal du comte d’Orgel”. Les romans présentent des similitudes.

Ils décrivent une élite enrichie grâce à l’essor économique consécutif à la première guerre mondiale.

Oisive et sans valeurs, elle traîne son ennui de fêtes somptueuses en amours licencieux.